Le cas « Bergère de France »
Suite au « débat » sur La Droguerie la semaine dernière (197 commentaires à l’heure où j’écris ces lignes), j’ai pensé qu’un nouveau débat de fin de semaine sur le cas « Bergère de France » pourrait être intéressant.
Je reprends donc le même format que pour le débat précédent et me permet de vous préciser que la formule « le cas » n’est en rien péjorative.
Les bases :
Bergère de France, je ne pense pas trop m’avancer en disant que tous les tricoteurs connaissent cette enseigne (enfin surtout en France) car c’est elle qui se bat pour la première place avec l’autre enseigne ultra connue qu’est Phildar.
Donc chez BdF (pour les intimes), on fabrique du fil (en France pour la majorité mais aussi en Turqui pour une partie des fils spéciaux), on vend le fil (par correspondance mais aussi en boutiques), on vend des catalogues de modèles, des aiguilles…
Mon avis :
Je pense qu’il n’est pas nécessaire que je revienne sur le sujet. Mais pour faire bref, j’apprécie l’enseigne (sinon nous ne serions pas partenaires) même si je ne suis pas ultra méga fan de TOUT ce qu’ils font (et oui, personne n’est parfait en ce moment et heureusement sinon ce serait mortellement ennuyeux).
Et vous ?
Maintenant, à vous de me donner votre avis sur le cas « Bergère de France » dans les commentaires. Dites-nous ce qui vous plaît et ce qui ne vous plaît pas.
Lachez-vous (mais restez polis, faut pas déconner quand même, on n’est pas des sauvages, respectez les autres est ultra important alors n’insultez personne même si vous n’êtes pas d’accord), ouvrez votre coeur et dites-nous tout ! Et vive le cariaujoux ! (comprenne qui peut)
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